Un nouveau festival c’est de l’humain, c’est des bonjours, des encouragements, des découragements, de la chaleur, des cafés, des gâteaux, des réunions, des coups de bourre et, nous l’espérons, de l’enthousiasme.
C’est une première, nous avons sans doute fait des erreurs, parlons-en,
C’est une première, vous avez plein d’envies, nous aussi, parlons-en.
C’est une première, alors il y a des mercis :
Merci aux premiers invités de prendre le risque avec nous
Merci à l’équipe de La Pellicule Ensorcelée qui a fait sienne la phrase de Mark Twain : Ils ne savaient que c’était impossible alors ils l’ont fait. Bravo pour vos idées, vos heures, vos énergies
Merci aux premiers bénévoles qui eux aussi ont accepté de monter dans le bateau. Sans vos esprits, vos remarques, vos mains, vos sourires, nous ne serions pas là.
Merci à nos partenaires, Cité de la Marionnette en tête, d’avoir donné le coup de pouce nécessaire pour mettre en mouvement ce festival, et, rappelons-le, qu’écrire en mouvement c’est la définition même du mot cinématographe.
Merci à vous tous d’être présents, profitez de chaque minute d’ici dimanche soir avec les artistes présents à Charleville ou présents par leur film.
Je n’arrivais pas à trouver le sommeil hier soir, alors j’ai regardé La rue sans joie du réalisateur autrichien Georg Willem Pabst et j’ai lu cette phrase de lui :
« Je crois en la mission du film qui consiste à établir des diagnostics sur son époque, et d’ancrer fermement des pensées importantes dans la conscience des hommes. La tâche du réalisateur doit être de contribuer à la construction de notre avenir.«